Le congrès de Nancy, en mai 1998, s’est mobilisé autour de l’action locale, avec la question : « Pourquoi et comment militer avec la Ligue de l'enseignement ? »
La résolution finale se termine par un appel à faire de l’éducation populaire le ferment d’une société libre, juste et fraternelle. Elle invite à poursuivre l’action autour des priorités en précisant les conditions de leur mise en oeuvre : « Redonner la priorité à l’action locale ; accélérer la transformation des fédérations départementales ; construire le réseau des “Ligueurs” dans la confédération et au-delà ; dégager en commun quelques priorités ; affirmer notre originalité et rendre visible notre ambition et redresser l’espoir. »
Parmi les priorités : agir avec et pour les habitants en travaillant avec ceux trop nombreux qui connaissent la fragilité économique et sociale : mettre en oeuvre une conception laïque de la solidarité ; faire vivre la citoyenneté et réhabiliter le politique ; militer pour l’école, pour réaffirmer l’ambition commune qu’elle représente.
1998 :
1999 :
Liens
[1] https://memoires.laligue.org/sites/memoires.laligue.org/files/90-eme-congres_nancy_vfinale2.pdf
[2] https://memoires.laligue.org/print/archive/document/congres-de-nancy-pourquoi-et-comment-militer-avec-la-ligue-de-lenseignement
[3] https://memoires.laligue.org/printmail/archive/document/congres-de-nancy-pourquoi-et-comment-militer-avec-la-ligue-de-lenseignement